Financer sa formation

Retrouvez toutes nos solutions

Financement

Financer sa formation

Il existe de nombreux dispositifs de prise en charge des formations. Nos équipes sont à votre disposition pour vous conseiller. Voici quelques pistes possibles de prise en charge

Le CPF (Compte Personnel de Formation) est un budget formation dont dispose chaque salarié à condition d’avoir déjà pu cotiser des heures de formation dans son précédent parcours professionnel.

Depuis 2020, les salariés ayant effectué une durée de travail supérieure ou égale à la moitié de la durée légale ou conventionnelle du travail sur l’ensemble de l’année 2019 ont acquis 500 euros par an pour se former (plafonné à 5 000 euros).

Pour les salariés peu ou pas qualifiés qui n’auraient pas atteint un niveau de formation sanctionné par un diplôme classé au niveau 3 (CAP, BEP), le montant annuel du crédit CPF est majoré à 800 euros (plafonné à 8 000 euros).

Chaque personne dispose, sur le site officiel moncompteformation.gouv.fr d’un espace personnel sécurisé lui permettant de s’identifier sur son Compte personnel de formation (CPF).

Notre équipe est à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.

Toutes nos formations sont éligibles au CPF (hors parcours spécifiques mentionnés).

Contactez-nous

Dans le cadre des conséquences économiques liées à la crise sanitaire du Covid-19, le dispositif FNE-Formation a été repensé afin de répondre aux besoins des entreprises en activité partielle, en activité partielle de longue durée et des entreprises en difficulté par la prise en charge de coûts pédagogiques.

En 2021, le FNE-Formation accompagne les entreprises proposant des actions de formation concourant au développement des compétences de leurs salariés et structurées sous la forme de parcours.

L’aide à la formation du Fonds national de l’emploi, FNE-Formation, s’intègre aux outils du volet ingénierie emploi-formation du dispositif Appui aux mutations économiques (AME).

Modalités de mobilisation du dispositif de crise du FNE-Formation

Qui sont les bénéficiaires de ce dispositif de crise ?
Le dispositif est ouvert pour tous les secteurs :

  • aux entreprises placées en activité partielle (droit commun ou longue durée),
  • aux entreprises en difficulté au sens de l’article L. 1233-3 du code du travail (hors cas de cessation d’activité),
  • L’ensemble des salariés en activité partielle (AP) / activité partielle de longue durée (APLD) ou hors activité partielle sont éligibles, à l’exception des salariés en contrat d’apprentissage, en contrat de professionnalisation et ceux appelés à quitter l’entreprise, dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi ou d’une rupture conventionnelle collective et pour lesquels d’autres dispositifs existent.

Il n’y a pas de condition relative au niveau de diplôme ou à la catégorie socio-professionnelle du salarié formé.

Pour les contrats courts (PEC, CDD), ils doivent demeurer salariés jusqu’à l’expiration de la durée de la formation.

Quelles sont les formations éligibles ?
Les actions éligibles sont celles prévues aux 1°, 2° et 3° de l’article L. 6313-1 du code du travail dont celles permettant d’obtenir une des qualifications mentionnées et L. 6314-1 du même code, à l’exception des formations relevant de l’obligation de formation générale à la sécurité incombant à l’employeur (articles L. 4121-1 et L. 4121-2 du code du travail) et des formations par apprentissage ou par alternance.

Les actions de formation (cf. article L. 6313-2) doivent être organisées sous la forme d’un parcours comprenant, outre les séquences de formation, le positionnement pédagogique, l’évaluation et l’accompagnement de la personne qui suit la formation et permettant d’adapter le contenu et les modalités de déroulement de la formation.

Le parcours de formation doit permettre au salarié de développer des compétences et renforcer son employabilité, quel que soit le domaine concerné. Il doit répondre principalement aux objectifs cités aux deuxième et troisième alinéas de l’article L. 6321-1 du code du travail.

Les parcours peuvent prendre différentes formes : parcours reconversion, parcours certifiant, parcours compétences spécifiques contexte Covid-19 et parcours anticipation des mutations.

Pour en savoir plus, contactez nous

Mis en place au 1er janvier 2019, le projet de transition professionnelle permet aux salariés souhaitant changer de métier ou de profession de financer des formations certifiantes en lien avec leur projet.

Qu’est-ce que le projet de transition professionnelle ?
Le projet de transition professionnelle se substitue à l’ancien dispositif du congé individuel de formation (CIF), supprimé depuis le 1er janvier 2019 : il permet, en effet, une continuité de financement des formations de reconversion avec congé associé. Toutefois, ses contours et modalités d’accès ont évolué.

Le projet de transition professionnelle est une modalité particulière de mobilisation du compte personnel de formation, permettant aux salariés souhaitant changer de métier ou de profession de financer des formations certifiantes en lien avec leur projet. Dans ce cadre, le salarié peut bénéficier d’un droit à congé et d’un maintien de sa rémunération pendant la durée de l’action de formation.
Quelles sont les formations financées par le projet de transition professionnelle ?
Le projet de transition professionnelle peut être utilisé pour financer des formations certifiantes, éligibles au compte personnel de formation, destinées à permettre au salarié de changer de métier ou de profession.

Quelles conditions dois-je remplir pour pouvoir utiliser mon projet de transition professionnelle ?
Pour bénéficier d’un projet de transition professionnelle, le salarié doit justifier d’une ancienneté d’au moins vingt-quatre mois, consécutifs ou non, en qualité de salarié, dont douze mois dans l’entreprise, quelle qu’ait été la nature des contrats de travail successifs. L’ancienneté s’apprécie à la date de départ en formation du salarié.

Par dérogation, des modalités particulières d’ancienneté sont prévues pour les salariés souhaitant réaliser leur projet de transition à l’issue de leur CDD (conditions similaires à l’ancien congé individuel de formation), et pour les salariés intérimaires ou intermittents du spectacle.

La condition d’ancienneté n’est pas exigée pour :

  • les personnes bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapées (OETH) ;
  • les salariés licenciés pour motif économique ou pour inaptitude, n’ayant pas suivi de formation entre leur licenciement et leur nouvel emploi.

Pour en savoir plus, contactez-nous !

Le contrat de sécurisation professionnelle (CSP) est destiné au salarié licencié pour motif économique.

Ce dispositif a pour objectif de favoriser une reconversion du salarié. Des mesures d’accompagnement et une indemnité spécifique sont prévues pour le salarié licencié. L’employeur est tenu de le proposer au salarié. Celui-ci peut le refuser.

De quoi s’agit-il ?
Le contrat de sécurisation professionnelle (CSP) est un dispositif d’accompagnement renforcé, sous forme de suivi individualisé, en cas de licenciement pour motif économique du salarié.

Le CSP prévoit l’organisation et le déroulement d’un parcours de retour à l’emploi. Des mesures d’accompagnement peuvent notamment comprendre des périodes de formation et de travail en entreprise.

Le CSP peut permettre d’effectuer des périodes de travail en entreprise rémunérées.

Vous souhaitez en savoir plus ? Contactez-nous !

Il existe différents moyens pour entreprise d’adapter ses effectifs. Ceux-ci sont principalement au nombre de trois :

  • Les plans de sauvegarde de l’emploi (PSE)
  • Les ruptures conventionnelles collectives (RCC)
  • Les plans de départs volontaires (PDV).

Le plan de sauvegarde de l’emploi est un dispositif qui prévoit diverses mesures dans le but d’éviter ou de limiter les licenciements pour motif économique dans une entreprise. Du fait qu’il entraîne des départs contraints, ce plan est très normé et encadré.

La rupture conventionnelle collective, mise en place en janvier 2018, a pour objectif de permettre à l’employeur d’adapter ses effectifs sans départs contraints. La rupture conventionnelle collective est exclusive de licenciements économiques pendant toute la durée de l’accord.

Le plan de départ volontaire est une construction jurisprudentielle qui n’est pas définie dans le code du travail. Il existe deux types de PDV :

  • Le PDV dit « autonome ». Il s’agit d’un plan de départ qui n’a pas nécessairement une finalité économique, mais plutôt une finalité de gestion prévisionnelle des emplois. De ce fait, il reste très souple ;
  • Le PDV dit « hybride », le plus fréquent, est une composante d’un PSE. L’employeur propose dans un premier temps des départs volontaires qui pourront être suivis de départs contraints si le nombre de départs volontaires s’avère insuffisant. Le PDV hybride obéit alors aux principales règles du PSE.

Vous souhaitez plus d’informations ? Contactez-nous.

Med’in Formation peut accorder des réductions pour les porteurs de projets associatifs à valeurs éthiques importantes.